เŜ𝑜ˡ𝓪t𝐢𝓸n ᗷẸⓡ𝓁Ⓘ𝐍, 𝐏Δ𝐧𝔻𝐀 ℓỮ᙭
Deutsch rockt!
«Geh doch nach Berlin» proklamierte einst die Kölner Band Angelika Express. Isolation Berlin wohnen dort und fühlen sich so (un)wohl, dass es ihnen schon wieder (un)wohl ist. Vier Jungmänner schreiben Liebeskummerlieder, bei denen auch – oder gerade – die über Vierzigjährigen eine Träne verdrücken und einstimmig einstimmen: «Ich hab endlich keine Träume mehr». Alles spricht von Wanda. Wir kennen noch anderen Deutschrock aus einem Alpenland, Panda Lux aus der Schweiz. Dochdoch, wir sind bestens dabei.
« Pars-donc pour Berlin » proclamait jadis un groupe de Cologne, Angelika Express. Les quatres jeunes hommes de Isolation Berlin y vivent et se sentent tellement mal/bien dans leur peau que cela leur fait presque du bien/du mal. Ils écrivent des chansons de chagrin d’amour qui parlent même – ou surtout – aux gens dans leur quarantaine, pour pleurer et pour dire à l’unisson: « Je n’ai enfin plus de rêves. » Tout parle de Wanda. Mais nous connaissons un autre rock allemand sortant d’un pays alpin, Panda Lux, Suisse. Mais oui, nous y sommes aussi.