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Music and mechanics, performance and installation. The man who makes Meccano sing. Quiet motors.

START. Wenn „MusĂ©e MĂ©canique“ als Bandname nicht schon besetzt wĂ€re, die Faust passte genau auf die welt- und epochenweit zusammengetragenen und in Musikmaschinen ĂŒberfĂŒhrte Instrumente/GegenstĂ€nde von Pierre Bastien, der seit 1977 mit dem frĂŒheren Bubenweihnachtsgeschenk „Meccano“ experimentiert. Wenn es Jean Tinguely nicht frĂŒher gegeben hĂ€tte, hiesse er Pierre – im musikalischen Sinn, auch wenn Tinguelys Maschinen durchaus musikalisch sind. Als Dirigent seines mechanischen Orchesters drĂŒckt er nur einen Knopf und die Symphonie nimmt ihren Lauf, rhythmisch holpernd, unbeirrbar prĂ€zis. Seine Musiker fallen nie aus dem Takt, ausser es sei so konstruiert. STOP.

START. Si le nom « MusĂ©e MĂ©canique » n’était pas dĂ©jĂ  rĂ©servĂ©, il serait le plus adĂ©quat au monde de Pierre Bastien, qui, depuis 1977, fait ses expĂ©rimentations avec des « Meccano », le cadeau de noĂ«l pour les garçons de l’époque. En effet, il a collectĂ© une multitude de machins et d’instruments Ă  travers le monde et les Ă©poques pour en faire des instruments de musique. S’il n’y avait pas eu Jean Tinguely, son nom aurait Ă©tĂ© Pierre – en tout cas au sens musical, bien que les machines Ă  Tinguely, elles aussi font de la musique. En tant que chef d’orchestre de son ensemble mĂ©canique, il ne lui reste qu’à peser un bouton et la symphonie se met en marche, Ă  un rythme cahotant, fermement prĂ©cis. Ses musiciens ne perdent jamais le rythme, Ă  moins d’avoir Ă©tĂ© conçu pour le faire. STOP.

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