Pя𝔸𝓔d, 𝓛𝓐K𝐊E𝐫
Arabic popular music, free jazz and electronics.
Eins und eins zusammengezählt haben PRAED: Aus arabischer Volksmusik und Jazz mache man eine mit elektronischen Beats angereicherte Melange, die schräg genug ist, um sämtliche Hipster der westlichen Hemisphäre in Ekstase zu versetzen – aber auch traditionell genug, um ihren Wurzeln treu zu bleiben. Ebenfalls gute Kombinatorik bewiesen sie auch bei der Namensfindung: Aus Paed (Conca) und Raed (Yassin) wurde PRAED. Wer so gut zusammenfügen kann, der gehört zusammen. Das wüssten auch Lakker zu unterschreiben, deren Mitglieder Dara Smith und Ian McDonnell zwar weniger konsequent im Kombinieren waren, aber dafür umso konsequenter in der Verweigerung der Verwendung lieblicher Melodiebögen. Wir wollen Bass, natürlich aus Berlin.
PRAED a fait son addition: En ajoutant du Jazz à la musique folklorique arabe on fait un mélange enrichi de beats électroniques qui est assez excentrique pour mettre en extase tous les hipsters de l’hémisphère ouest – tout en restant traditionnel et fidèle à ses racines. Pour inventer le nom du groupe, les additions ont à nouveau bien servies: Paed (Conca) et Raed (Yassin) devenait PRAED. Puisqu’ils savent si bien associer les choses, ils doivent être fait pour vivre ensemble. Lakker devrait pouvoir se joindre à ces thèses. Leurs membres, Dara Smith et Ian McDonell sont un peu moins conséquents dans leur recherche d’associations, mais d’autant plus conséquent sur le refus d’utiliser des mélodies entraînantes dans leurs compositions. Nous voulons de la basse – venant de Berlin - bien sûr.