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Retro Indie-Soul-Pop or a big Pop band for the Future from Portland.

Liebe kann beflĂŒgeln, aber auch lĂ€hmen. Der Kreativprozess einer Band steht und fĂ€llt mit den Launen des Liebespaars. Bei Radiation City hat(te – Stand 11.2.2016 – man weiss da nie so recht) es gleich zwei davon. Und die mĂŒssen sich lieb haben. Sorgenfrei klingt die Musik von Radiation City aus der Hipsterstadt Portland: Jugenderinnerungen, das Haar im Wind, den Wind im Haar, Stereolab auf dem Surfbrett, Beach House mit Drive, Morcheeba im Batikrock, Easy Listening nicht ganz easy. Den Liebessegen erteilt vorgĂ€ngig die Berner Band „Patrick Bishop“, auf neo-puritanische Soul-Weise.

L’amour peut donner des ailes, mais peut aussi paralyser. Le procĂšs crĂ©atif d’un groupe dĂ©pend des humeurs de son couple. Chez Radiation City, on compte mĂȘme deux couples (Ă  la date du 11.02.2016 – on ne sait jamais…). Ça doit ĂȘtre un amour profond. Leur musique tĂ©moigne d’un sentiment de lĂ©gĂšretĂ© et d’insouciance. On entend chez Radiation City, qui vient de la ville en vogue de Portland, des souvenirs d’enfance, les cheveux dans le vent, le vent dans les cheveux, Stereolab sur la planche de surf, Beach House avec du punch, Morcheeba en robe batik, un easy listening pas tout Ă  fait easy. La bĂ©nĂ©diction pour cet acte d’amour est assurĂ©e en premiĂšre partie de maniĂšre soul nĂ©o-puritaine par le groupe bernois « Patrick Bishop ».

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