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A psychedelic and doom experienced castle of garagesounds.
Gong not home. Donât be afraid. Come in itâs Friday.
Jawbones klingt so in etwa wie der vertonte Exzess von drei Tagen lang Garage, der vollen Dosis Brian Jonestown Massacre, einer Menge White Russians und beissenden Gitarren. Bloss nicht so halbtot, sondern putzmunter, shaky und in ekstatischen Höhen. Ein psychedelic Boogie âtil minuit, oder bis du nĂŒmm chasch stah. Eröffnet wird der Abend von Sothiac, einem experimentellen psychedelic Doom-Duo mit reichlich Hang zur Avantgarde und zur Improvisation. Synthie, hallende GesĂ€nge und wilde Gitarren: ein irriger Ton hier, ein verzerrter Klang da. Be there, tralala.
Jawbones, c’est un peu comme la mise en musique de trois jours d’excĂšs garage, d’une intĂ©grale de Brian Jonestown Massacre, d’une bonne dose de White Russians et de guitares mordantes. Juste pas Ă moitiĂ© mort, mais tout Ă fait Ă©veillĂ©, shaky et dans des hauteurs extatiques. Un boogie psychĂ©dĂ©lique ‘til minuit, ou jusqu’Ă ce que tu ne tiens plus debout. PremiĂšre partie de tout cela avec Sothiac, un duo de doom psychĂ©dĂ©lique expĂ©rimental qui affirme un penchant pour beaucoup d’avant-garde et d’improvisation. SynthĂ©s, chants rĂ©sonnants et guitares sauvages: une note perdue par lĂ , une distorsion par lĂ . Be there, tralala.