ⓐĻєⓧ 𝐂Δ𝓶𝐞RᵒN, נ𝕒ςⓀ lα∂ⓓέ𝔯
The biggest loser in pop music and another character.
More beautiful and kitsch than true.
Better than pop music before.
Wenn aus Spass Ernst wird, dann kann der Schuss mächtig nach hinten losgehen. Oder aber, wie im Falle Alex Camerons, ins Schwarze treffen: Nachdem er jahrelang den Loser mimte und mit gross angelegten Pophymnen Geschichten testosterongetriebener, homophober oder anderer Verlierertypen erzählte, ist sein neuster Wurf der grossen Liebe seines Lebens gewidmet. Das Resultat klingt interessanterweise weniger kitschig als vorher: 1:0 für die Liebe, 1:0 für Cameron.
Quand la rigolade tourne au vinaigre, on risque le lourd retour de bâton… Ou – comme dans le cas d’Alex Cameron – on réussit un tir dans le mille. Après des années qu’il a passé à imiter un loser et à raconter, par le biais d’une pop emphatique, des histoires de mecs trahis par la testostérone ou par leur homophobie, son nouvel album est cette fois dédié au grand amour de sa vie. Et bingo, le résultat est moins kitsch que ce que l’homme faisait auparavant, alors voilà: 1:0 pour l’amour, 1:0 pour Cameron.