Ⓜ𝐚𝓇ί𝓪 𝐕Iᗝ𝕝乇ηⓩⓐ, ​𝐠ä𝓝g𝓢ⓣ𝓖äηᵍ, ​E𝐭I𝑒ᶰ𝕟є Ⓑ𝓁𝓐几𝓒𝓱σ𝓉 (ᗪⒿ-ˢєT, 𝓲ⒹⒺ𝔞ℓ 𝐓𝓇𝕠𝔲ⒷĹέ)

Pas loin de tout ce qui est punk!

Palermo als hörbarer Ursprung ihrer «Casa Nostra» - Landesgrenzen kennt die sizilianische Rabaukin dabei nicht. In vier Sprachen schiesst Maria Violenza um sich. Wenn E-Clash schon in den 50ies existiert hätte, Maria wäre dabei gewesen. Gängstgäng aus dem Kanton Jura orientiert sich schon im Namen am Kriminellen. Seine Waffe ist die bellende Schnauze, die einem um einen Johnny Rotten erweiterten Trio namens Sleaford Mods neuen Schwung verleihen würde.
Davor und danach lässt der Chef des Pariser Festivals «Ideal Trouble», Etienne Blanchot, DJ-Salven knallen.

Les racines de sa « Casa Nostra » musicale se trouvent bien à Palerme – pourtant la loubarde sicilienne ne s’arrête pas devant les frontières. Maria Violenza tire ses coups de feu verbaux en quatre langues. Si l’electroclash avait déjà existé dans les années 50, madame aurait sans doute été de la partie. Le Jurassien Gängstgäng porte son affinité pour le monde du crime dans son nom. Sa diction aboyante est une arme qui pourrait donner des leçons aux Sleaford Mods, même en trio élargi d’un Johnny Rotten. Avant et après les concerts, le patron du festival parisien «Ideal Trouble», Etienne Blanchot vous servira quelques salves sur platines.

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