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Come back from the beach dream Pop.

No Vacation aus San Francisco und neuerdings Brooklyn beehren Daheimgebliebene mit grossen, ja hymnischen Melodiebögen, wie sie Arcade Fire nicht besser schreiben könnten. Dem betörenden Hauch in der Stimme sei Dank, erlangt das Quartett – oder live auch mal Quintett – aber nie diese stadionfüllende und mitunter distanzierte Opulenz, sondern erzeugt ein verträumtes und fast schon heimeliges Ambiente, in wärmstes Sommerabendsonnenlicht getaucht.

No Vacation de San Francisco et plus récemment de Brooklyn vient enchanter ceux qui n’y sont pas avec de grandes mélodies ressemblant à des hymnes qu’Arcade Fire ne pourrait pas écrire mieux. Grâce à la touche séduisante de la voix, ce quartet – ou parfois quintet sur scène – n’atteint jamais cette opulence de stade et parfois distante, mais crée une ambiance de rêve et presque de chez-soi, baignée dans la plus chaude lumière du soleil couchant.