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Das Unikat aus Wien. Am Schluss ist das Fest.

Anti-Folk eines Wiener Friedhofsgärtners (nicht Sängerknaben) mit makabren und charmanten Untertönen, der Tote musikalisch wieder ausgräbt. Der Moritatensänger heisst deshalb auch Voodoo und nicht Udo Jürgens. Mit Letzterem hat er wenig gemein. Denn er schreibt Lieder im Wiener Dialekt, die man wohl besser nicht als Austropop labeln sollte, über niedrige Dinge wie Angst, Boxen, Glücksspiele oder die Unterwelt, aber auch über seinen Heimatort Tulln, den mit jenem Düdingen vieles verbindet, in dessen Dialekt vorher Lee Schornoz, Michel Gorski & Mago Flück singen.

Voici l’anti-folk aux nuances aussi macabres que charmantes d’un jardinier de cimetière (et non pas petit chanteur) viennois qui déterre les morts, musicalement. C’est la raison pourquoi ce récitateur de complaintes s’appelle Voodoo Jürgens, pas Udo – juste une référence au géant autrichien du schlager avec qui il a peu de points communs. Le terme austropop s’applique donc avec caution: Ces chansons en dialecte viennois traitent de choses basses telles que la peur, la boxe, le jeu de hasard ou le monde souterrain, mais aussi de sa ville natale, Tulln, qui ressemblerait beaucoup à Düdingen, dont le dialecte sera à l’honneur cette soirée avec Lee Schornoz, Michel Gorski et Mago Flück.

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