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Some headbanging because we are d’accord.
Death & Thrash Metal
Zwei Texter für zwei Freiburger Bands: all ihre aktuellen und ehemaligen Bandmitgliedschaften würden Seiten füllen und Dekaden des harten Deutschfreiburger Musikschaffens abdecken. Sage mir, Muse, die kühnen Taten der heroischen Metal-Newcomer Akroasis: Mythensatte Gesänge, hochmelodische Dichtungen von einem todesmutigen Altertum, von Achilles, Patroklos und Odysseus, von ihrem Zürnen und ihren Kämpfen. Kraftstrotzende und doch fein gewebte Thrash- und Death-Metal-Riffs, die über die blossen Sterblichen hereinbrechen wie auf hoher See die gewaltigen Wellen und Sturmwinde. Man kann seine Seele schon mit dem Mikrofasertuch reinigen. Aber manchmal braucht es einfach Stahlwolle, um auch an den verkrusteten Dreck heranzukommen. Dark Colony sind Stahlwolle. Da gibt es nichts Angenehmes in ihrem Death-Metal. Das kratzt bestialisch und ist nur auszuhalten mit Headbangen und wilden Tänzen.
Deux noms sous ce texte pour deux groupes fribourgeois. Citer toutes leurs participations actuelles et passées dans des différentes formations musicales – cela remplirait des pages et couvrirait des décennies de création fribourgeoise dans le domaine du hard. Raconte-moi, chère muse, les actes audacieux de ces nouveaux venus héroïques du metal d’ Akroasis : des chants saturés de mythes, des poèmes hautement mélodiques d’une antiquité courageuse, d’Achille, de Patrocle et d’Ulysse, de leur colère et de leurs combats. Des riffs de thrash et de death metal à la fois puissants et subtilement tissés, qui s’abattent sur les simples mortels comme, en haute mer, les vagues puissantes et les vents de tempête. On peut purifier son âme avec un chiffon en microfibres, bien que parfois, il faut de la laine d’acier pour atteindre les saletés les plus incrustées. Dark Colony, c’est de la laine d’acier. Il n’y a rien d’agréable dans leur death metal. Cela gratte bestialement et ce n’est supportable qu’avec du headbanging et des danses endiablées.
Text: Marco Neuhaus / Ivo Stritt