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Post-punk’s not dead

September. Die Nächte werden länger und kälter. Die richtige Zeit also für einen Abend mit düsterer, kühler Musik. Dark-Wave, Cold-Wave. Der Bandname des Genfer Quartetts «Future Faces» führt etwas in die Irre, hat ihr Sound doch nichts Zukünftiges, sondern bewegt sich tief in der Musik der frühen 80er. Damals hiess das Genre noch New Wave und fasste alles zusammen, was heute als Post-Punk gilt. Auch das Trio «Grey Lips» mit Mitgliedern aus Genf, Biel und Freiburg nimmt uns mit auf eine Zeitreise, vierzig Jahre zurück. Bands wie Bauhaus oder Killing Joke klingen an. Etwas wärmer sind die Songs von «Jochen K & Johnny W». Dafür sind sie von einer Melancholie und Traurigkeit, dass es einen schier zerreisst.

Septembre. Les nuits deviennent plus longues et plus fraîches. C’est donc le bon moment pour passer une soirée à écouter de la musique sombre et froide. De la dark-wave, de la cold-wave. Future Faces: le nom de ce quatuor genevois est quelque peu trompeur, car leur son n’a rien de futuriste, mais puise dans les prémices musicales du début des années 80. À l’époque, on appelait ça de la new wave, et le terme regroupait tout ce qui est aujourd’hui considéré comme du post-punk. Composé de membres de Genève, Bienne et Fribourg, le trio Grey Lips nous emmène lui-aussi dans un voyage dans le temps, quarante ans en arrière et fait écho à des groupes comme Bauhaus ou Killing Joke.. Enfin, les chansons de Jochen K & Johnny W, un peu plus chaleureuses, vous déchireront en revanche avec leur mélancolique tristesse.

Text: Ivo Stritt

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