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vintage future sounds like a festival
Dass Ren Schofield die Inspiration fĂŒr sein elektronisches Noise-Projekt nicht vom Dancefloor holt, merkt man an den Drums, die beinahe «muskulĂ€r» klingen. Vielmehr liess sich der Elektronik-Veteran von «Oh, the Guilt» von Nirvana, oder «Itâs always 1999» von Mindflayer fĂŒr seinen eigenen Sound beeinflussen. Jack J aus Vancouver hingegen experimentiert mit Dub, Boogie und Ambient-Jazz, und Naomie Klaus, zu guter Letzt, weiss die Pole Ritalin und Xanax gleichermassen zu bedienen. Monotonie? Nie!
Un indice sur le fait que Ren Schofield ne sâinspire pas uniquement du dancefloor pour sa noise Ă©lectronique, est le rythme des drums, au son «musclé». Ce vĂ©tĂ©ran de lâĂ©lectronique puise plutĂŽt dans «Oh, the Guilt» de Nirvana, ou encore «Itâs always 1999» de Mindflayer. Jack J, de Vancouver, expĂ©rimente quant Ă lui avec la dub, le boogie et le jazz ambient. Tandis que Naomie Klaus, la bien nommĂ©e, maĂźtrise aussi bien le pĂŽle Ritalin que le Xanax. De la monotonie? Jamais!
Text: Fabienne Schmuki